Usage des langues dans les gares SNCB

Question 1303 posée au Vice-Premier Ministre et Ministre de la Mobilité à la suite d’une interpellation citoyenne concernant la diffusion de messages dans les trois langues officielles lors de situations potentiellement dangereuses (travaux, passage de trains à haute vitesse, etc.). 

J’ai été interpellé par l’expérience d’un citoyen, M. Christian S. qui utilise le train et qui, après une visite touristique dans la ville de Dinant, s’est retrouvé en gare. Pour accéder au quai vers Namur, il lui fallait traverser sur les voies, la passerelle n’étant pas encore achevée. Un message vocal l’informa alors de l’imminence du passage d’un long train de marchandises. Message diffusé en une seule langue, le français, deux minutes avant l’arrivée effective du train. Selon ce témoin direct, aucun agent de la SNCB ne se trouvait alors sur le quai pour informer ou guider les voyageurs, pourtant exposés à une situation potentiellement très dangereuse.

1. Dans les situations potentiellement dangereuses, en cas de travaux par exemple, et a fortiori dans les gares des principales villes touristiques belges, pourquoi les messages ne sont-ils pas diffusés dans les trois langues nationales et en anglais, afin de pouvoir sensibiliser un plus grand nombre de voyageurs?

2. Quelle est la part des messages directs et des messages enregistrés?

3. Qui décide et valide le contenu des messages diffusés dans les gares de la SNCB? 4. Quel est l’ensemble du dispositif d’information et de protection des voyageurs à quais en cas de danger?

Une réponse orale a été donnée aux questions orales 24115C et 23913C similaires lors de la commission Mobilité du 8 février 2022, disponible dans le Compte Rendu Intégral de la Chambre de  2021-2022 (CRIV 55 COM 687).

Je renvoie l’honorable membre vers mes réponses aux questions orales 24115C et 23913C lors de la commission Mobilité du 8 février 2022 (Compte Rendu Intégral, Chambre, 2021-2022, CRIV 55 COM 687).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retrouvez ICI le lien vers la question sur le site de la Chambre des représentants.